Heureux de partager avec vous l’intervention de Nassim Haramein sur la chaîne Youtube Tistrya sous la forme d’un article synthétique. Quelle claque ! Et surtout, un espoir pour sauver l’humanité ?
L’Intelligence de l’univers et la redécouverte de soi : Les révélations de Nassim Haramein pour une humanité Libre
Dans un monde où la quête de sens est plus présente que jamais, les voix qui nous invitent à remettre en question nos paradigmes fondamentaux sont précieuses. Nassim Haramein, physicien de renommée internationale, est l’une de ces figures emblématiques. À travers ses décennies de recherche, il nous propose une vision radicalement unifiée de l’Univers, de la matière et de la conscience, nous invitant à « être libre » non seulement dans notre pensée, mais aussi dans notre potentiel évolutif. Préparez-vous à un voyage fascinant qui pourrait bien changer votre perception de la réalité.
Une quête précoce de la vérité : Le chemin d’un esprit libre
La curiosité de Nassim Haramein pour la nature fondamentale de la réalité s’est manifestée dès son plus jeune âge, aux alentours de sept ou huit ans. Il trouvait étrange que la plupart des gens semblaient accepter leur existence, leur conscience et leur perception de la réalité sans se poser de questions fondamentales. « Comment sommes-nous là ? Comment se fait-il que je sois conscient ? Que se passe-t-il ? », s’interrogeait-il, constatant que la majorité des individus semblaient simplement se conformer aux comportements des autres une fois arrivés sur cette planète.
Cette interrogation profonde contraste avec l’observation que beaucoup ne commencent à se poser ces questions essentielles qu’à la fin de leur vie, souvent dans les deux dernières semaines, un moment où il est « un peu trop tard pour essayer de trouver » des réponses.
Son parcours scolaire fut semé d’embûches. Il éprouva des difficultés à s’intégrer et les enseignements dispensés lui semblaient « très bizarres ». Des abus, tant de la part de professeurs que d’élèves, ont rendu cette période particulièrement difficile, le conduisant à un isolement profond. C’est dans cet isolement que la nature devint son refuge et sa première enseignante. Il s’y sentait accepté, confortable et une présence bienveillante l’y enveloppait. En observant la nature, il fut frappé par la structure, l’organisation et l’équilibre incroyable qu’elle manifestait. Cela le mena à la conviction qu’il existait « quelque chose qu’on ne connaissait pas, qu’on ne voyait pas, qui existait dans l’espace ».
Une éducation non conventionnelle : L’appel à l’étude indépendante
Nassim Haramein a rapidement développé une « allergie aux universités » et au système académique traditionnel, ne souhaitant pas qu’on lui dicte ce qu’était la physique. Son désir était d’apprendre par lui-même, d’interpréter les concepts sans être influencé. Il a donc pris la décision audacieuse d’étudier de manière indépendante.
Pendant de nombreuses années, il fut un athlète accompli en ski et guide de montagne. C’est durant cette période, le soir et les week-ends, qu’il consacra chaque instant disponible à l’étude. Une étape particulièrement marquante de son apprentissage fut de vivre et d’étudier dans un camion pendant cinq ans, entièrement isolé, se consacrant exclusivement à la recherche en physique la plus approfondie qu’il pouvait. Il a ensuite collaboré avec d’autres physiciens qui l’ont aidé sur des aspects qu’il ne maîtrisait pas, notamment les mathématiques. C’est ainsi qu’il a acquis ses vastes connaissances en physique, fruit de près de 30 ans d’études.
Ce cheminement l’a conduit à réaliser l’existence d’un champ structuré qui est la source de la matière. L’avantage de cette recherche non académique était sa liberté totale. Il n’était pas contraint par l’obtention d’un doctorat, la recherche d’un emploi, ou l’obligation d’enseigner. Sa seule motivation était de comprendre « la vérité sur l’Univers, sur la réalité, sur ma conscience, qui je suis et tout ». Cette liberté lui a permis d’étudier simultanément la physique, l’archéologie, la chimie et la biologie. Cette approche holistique lui a offert la capacité de percevoir des liens que la plupart des gens ne peuvent pas voir en raison de la fragmentation des études universitaires.
Le problème fondamental de la fragmentation scientifique
Bien qu’il reconnaisse les avancées significatives de la physique moderne et le travail de figures illustres comme Max Planck, Albert Einstein et Paul Dirac, Nassim Haramein pointe du doigt un problème fondamental : la fragmentation des contextes de pensée. La science a l’habitude de compartimenter la réalité en disciplines distinctes : « Ça c’est la physique, ça c’est la biologie, ça c’est la chimie, ça c’est la conscience, c’est spirituel ». Cette séparation est même présente au sein d’une même discipline, distinguant la physique quantique de la cosmologie, des étoiles ou des galaxies.
Or, l’Univers, selon lui, ne fait « probablement pas cette distinction ». Il ne sépare pas la physique de la biologie ou de la conscience. Les atomes ne sont pas déconnectés de l’Univers, et l’Univers est fait d’atomes. Les grandes structures sont composées de petites structures, et tout doit être lié. La biologie doit être intrinsèquement liée à la physique.
Haramein observe que lorsque la matière s’organise à des niveaux élevés, elle peut devenir consciente d’elle-même. Il souligne que la biologie montre des choses qui s’organisent (néguentropie), contredisant les théories physiques qui postulent une désorganisation aléatoire. Pour lui, la désorganisation ne peut exister sans une organisation préalable, et c’est la « physique de l’organisation » qui n’a pas été suffisamment explorée. Ses recherches ont révélé que l’organisation émane de l’information présente dans un champ d’information omniprésent, qui génère des boucles de rétroaction. Ces boucles, comme celles des équations fractales, permettent d’atteindre rapidement de très hauts niveaux d’organisation.
Le vide n’est pas vide : La révélation de l’éther quantique
L’une des affirmations les plus percutantes de Nassim Haramein est que la matière que nous touchons, y compris notre propre corps, est constituée de 99,999999 % d’espace. Ce que nous percevons comme solide n’est en réalité qu’une infime fraction de « quelque chose », qui est un champ électrostatique, de l’énergie dans l’espace. Ses équations démontrent que les atomes sont de l’espace organisé, de l’énergie d’espace organisée.
Ce champ dans l’espace, autrefois appelé l’éther, est un concept que de grands physiciens, y compris des prix Nobel, réintroduisent aujourd’hui. Einstein avait tenté de le réintégrer mais n’avait pas réussi à convaincre la communauté scientifique de l’époque. Cependant, les équations quantiques montrent de manière irréfutable que le vide est « extrêmement plein d’énergie », avec des chiffres « immenses ».
Haramein illustre ce point en expliquant que l’espace entre nous n’est pas vide ; il est traversé par des champs électromagnétiques, de la lumière visible, des infrarouges, des micro-ondes et des ondes radio. Si l’on prend un cristal et qu’on le règle à la bonne fréquence, on peut entendre la radio en sortir, prouvant la présence de ces ondes invisibles. En physique quantique, plus les longueurs d’ondes sont courtes, plus l’énergie est grande, car il y a plus d’oscillations dans une région donnée de l’espace. Lorsque l’on pousse ce calcul jusqu’à la longueur de Planck – des milliards et des milliards de fois plus petite qu’un atome – l’énergie contenue dans la structure de l’espace au niveau quantique est incalculable. Il s’agit d’une quantité d’énergie « plus que la masse de l’Univers dans un centimètre cube d’espace ».
Malgré le fait que la physique standard sache que le vide n’est pas vide (comme en témoigne le fonctionnement de nos téléphones portables qui utilisent des ondes électromagnétiques invisibles et imperceptibles), l’énergie du vide à la fréquence de Planck est généralement ignorée. Il y a près de 100 ans, les scientifiques ont décidé de la considérer comme de l’énergie aléatoire, sans rapport avec la matière, et ont délibérément choisi de l’ignorer. Cela a eu pour conséquence que de nombreux étudiants en physique, même au niveau doctoral, n’ont jamais eu de cours sur l’énergie du vide.
Cependant, un changement majeur est en cours. Nassim Haramein cite Frank Wilczek, un prix Nobel de physique, qui, lors d’une conférence en 2017 intitulée « La Matérialité du Vide », a affirmé que l’éther n’aurait jamais dû être abandonné et qu’Einstein s’était trompé en le retirant de ses théories. Wilczek déclare même que « nous sommes des enfants de l’éther ». Haramein propose de visualiser cette énergie du vide comme de l’eau, un fluide omniprésent. De même qu’un poisson ne perçoit pas l’eau qu’il ne quitte jamais, nous ne percevons pas ce fluide spatial qui est partout.
Dans cette analogie, les atomes sont de petits vortex qui se forment dans ce fluide, des milliards de milliards de molécules d’eau tournant de manière cohérente. Un atome est un « petit vortex dans le vide qui crée un petit effet énergétique ». Il est crucial de comprendre que ces vortex (la matière) sont faits de ce fluide et sont connectés à travers lui. Si l’on ne réalise pas la présence de ce fluide de l’espace, il est impossible de comprendre le petit vortex, car on le percevra comme séparé, créant l’illusion d’une séparation entre toutes choses. C’est en reconnaissant que « tout est connecté à travers ce super fluide d’énergie de l’espace » que l’on commence à comprendre la matière et, ultimement, la conscience.
La conscience redéfinie : L’antenne quantique fractale
La conscience, pour Nassim Haramein, est un processus de rétroaction, une « feedback ». Se voir dans un miroir et se reconnaître en est un exemple. Si de telles rétroactions existent dans la matière avec le champ, alors la matière peut s’organiser en systèmes de plus en plus complexes qui, à un certain point, deviennent conscients d’eux-mêmes.
Il contredit l’idée standard selon laquelle le cerveau crée la conscience, ou que la conscience est purement interne à nous. Il estime que la description de la conscience comme un « épiphénomène du cerveau » résultant d’échanges minéraux et de décharges électriques est incorrecte. L’activité cérébrale n’est pas la source de la conscience, mais plutôt son résultat.
Le corps humain est, dans cette perspective, une « antenne quantique fractale ». Tout le corps – le cerveau, le cœur, le système digestif – fonctionne comme cette antenne vivante, s’ajustant à différentes « stations » en fonction de notre état émotionnel. Le rythme cardiaque, la respiration, la circulation sanguine sont des oscillations d’une « antenne cristalline » qui capte des informations de la structure du vide.
Ainsi, notre conscience est en réalité de l’information présente dans la structure de l’espace, une information qui a animé et organisé la matière qui nous compose. Nous sommes à la fois des antennes et des transmetteurs, recevant et envoyant des informations à partir et vers le vide à travers nos atomes, créant ainsi notre réalité par cette boucle de rétroaction. Un corollaire important est que si la matière se désorganise (la mort), l’information n’est pas perdue, ce qui donne un sens au concept d’âme.
Le temps, la mémoire et l’accès à l’information non locale
Nassim Haramein remet également en question notre conception du temps. Est-ce que l’Univers a un « tic-tac » universel ?. Il suggère que le temps est un concept humain. Si l’Univers est « infini, infiniment grand, infiniment petit », alors le concept de temps n’existe pas, mais seul le concept d’espace demeure. Il y a de l’information sur la structure de l’espace qui est enregistrée et se succède, nous donnant une impression de temps. Sans mémoire, il n’y a pas de temps ; si l’on ne se souvient pas de l’instant précédent, le concept de temps disparaît.
C’est pourquoi dans l’un de ses articles sur la biophysique de la conscience, il a nommé le concept de « The Space Memory Network » (le réseau de mémoire spatiale). La mémoire, pour lui, n’est pas seulement dans la tête humaine ; c’est l’information inscrite sur la structure de l’espace lorsque les systèmes bougent et s’organisent. Puisque nous sommes faits de cet espace et de cette mémoire, il devient plausible que les gens puissent accéder à de l’information non locale. Il cite des exemples comme la « remote viewing » (vision à distance), où une personne peut percevoir des lieux lointains sans y être allée, ou l’influence sur la santé d’une autre personne. Il affirme avoir prouvé dans ses équations que « toute l’information de l’Univers est dans un proton », ce qui rend cet accès non local possible pour les êtres composés de protons.
C’est peut-être l’explication à propos de celles et ceux qui auraient accès aux archives akashiques : une sorte de bibliothèque universelle des consciences personnelles et collectives qui se situerait dans l’Ether. Il y a quelques années, une personne a lu dans mes archives akashiques. J’avoue que j’ai été particulièrement impressionné par le déroulement de cette séance et les informations qui m’ont été délivrées. Je pense que je ferai un article à ce propos.
Des technologies révolutionnaires et les civilisations antiques
La compréhension que le vide n’est pas vide et que sa structure est cohérente – formant les atomes – ouvre des portes à des technologies incroyables pour notre civilisation. Nassim Haramein envisage la possibilité d’extraire une énergie quasi infinie d’un centimètre cube de vide. Plus fascinant encore, la capacité de créer une courbure dans la structure du vide permettrait de contrôler la gravité, ce qui mènerait à la capacité de voyager à travers l’Univers, les systèmes solaires, les galaxies et même au-delà.
Cela pourrait aussi transformer radicalement la longévité de la vie. Puisque notre désorganisation cellulaire est une désorganisation du vide, l’ingénierie du vide et son contrôle pourraient nous permettre de réaliser des choses inimaginables aujourd’hui, y compris la création directe de matière à partir du vide. Le concept des « réplicateurs » de Star Trek deviendrait ainsi une réalité.
Ces concepts d’un vide « plein » ne sont pas nouveaux ; ils étaient présents dans de nombreuses civilisations anciennes à travers le monde. Des concepts comme le « prana », le « chi » ou le « mana » décrivaient une énergie omniprésente, présente en toutes choses. Haramein note que la description de Dieu – omniprésent, omniscient – est une bonne description de ce genre d’information du vide.
Il existe de nombreuses preuves sur notre planète, petites et grandes, de l’existence de civilisations bien plus avancées avant des cataclysmes (comme la montée des mers décrite dans de nombreux récits anciens). Ces civilisations étaient capables de voler et ont laissé des monuments que nous, les civilisations connues, avons trouvés et sur lesquels nous avons apposé nos noms.
Ces monuments, d’une précision incroyable et d’une ingénierie inexplicable avec nos technologies actuelles, comme des statues de plus de 1000 tonnes faites de pierre très dure et transportées sur de longues distances, défient les explications archéologiques conventionnelles. Les premières estimations de leur précision étaient basées sur des outils rudimentaires, mais avec les instruments modernes, il est clair que cette précision est « incroyable » et non reproductible aujourd’hui. Haramein suggère que ces monuments sont des preuves qu’une société ancienne avait découvert et appliqué les principes du vide il y a très longtemps, remettant en question la narration linéaire de l’évolution humaine depuis les cavernes.
L’ascension de l’humanité : Un changement de conscience et de technologie
Nassim Haramein met en garde : une civilisation ne peut développer des technologies plus puissantes que sa capacité à s’autodétruire si sa conscience et sa sagesse ne s’élèvent pas au même niveau. L’Univers, dans sa sagesse, ne permettrait pas à une espèce de le détruire ; la nature, lorsqu’une espèce est hors d’équilibre, rétablit cet équilibre. Nous aurions pu découvrir et utiliser l’énergie du vide bien plus tôt, mais nous n’étions pas prêts.
Cela dépend de notre capacité à réaliser que « nous sommes tous sur la même planète, qu’on est tous dans le même Univers, qu’on fait tous partie de la même unité ». Il est bien plus bénéfique de travailler et d’évoluer ensemble que de se battre pour des ressources, car l’Univers en offre à l’infini. Des milliards de planètes habitables dans notre galaxie confirment l’abondance.
Les civilisations anciennes, qui semblent avoir eu des contacts avec des entités plus avancées, ont décrit des calendriers prédisant une période de « transformation » ou « d’ascension ». Cela a souvent été interprété philosophiquement comme une ascension de la conscience. Cependant, Haramein, en se basant sur ses études des civilisations anciennes et de la physique, a réalisé que ces prédictions parlaient d’un changement de conscience qui mènerait à une nouvelle technologie, spécifiquement le contrôle de la gravité.
Pour lui, le contrôle de la gravité est la prochaine étape évidente pour l’humanité, une découverte qui nous donnera littéralement la capacité de nous « enlever de la surface de notre planète » et de devenir une civilisation spatiale, ayant accès à d’autres planètes, à notre système solaire, et potentiellement à la galaxie et à l’Univers. Ce changement technologique induira inévitablement un grand changement de conscience, car l’ascension de l’humanité n’est pas seulement un concept spirituel.
Le contrôle de la gravité permettrait de ne plus avoir recours à la grande majorité des énergies fossiles, éliminer les voitures, le béton etc…et tant d’autres structures polluantes de la planète, ce qui entraînerait une régénération très rapide de la Terre. Les anciennes civilisations parlaient d’un retour de notre planète à un « état naturel, à l’état éden ». Notre technologie actuelle est un miroir de notre niveau de conscience. À mesure que notre conscience évolue, notre désir pour une technologie plus harmonieuse avec l’environnement grandira.
La positivité et la connexion : Les clés de la liberté
L’émergence de cette technologie dépend du nombre de personnes qui changent de conscience et de leur rapidité à le faire. Nassim Haramein insiste sur l’importance de ne pas se laisser entraîner par les théories négatives, même si elles contiennent des vérités, car cela nous fait participer à cette négativité. « Il faut rester positif en restant conscient de ce qui se passe sans l’ignorer ». La négativité se détruit d’elle-même ; notre rôle est de « construire le monde qu’on veut voir dans notre futur ». Let’s go ! 🙂